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Montpellier : cambriolages et agressions, les raids nocturnes de mineurs non accompagnés envoyé par Rutube.fr le 30/05/2020 @ 16:30


ARTICLE : http://rutube.fr/2020/05/30/montpellier-cambriolages-et-agressions-les-raids-nocturnes-de-mineurs-non-accompagnes/

[…]

Toutes les nuits, des MNA et des anciens MNA, de jeunes majeurs qui sont SDF, effectuent des raids : ils donnent de violents coups de pied dans des portes de magasins, au hasard. Quand elles cèdent, ils volent tout ce qui peut se revendre, ainsi que du numéraire. Ils escaladent des immeubles pour emporter des biens, dont des vélos.

Ils opèrent aussi le jour, comme jeudi : ils ont fait une razzia dans une boutique où ils sont repartis avec 400€ d’habits. Sur le trajet, ils ont agressé des clientes qui faisaient la queue chez un glacier place Jean-Jaurès, pour leur arracher leur portable et une chaîne en or autour du cou.

[…]

L’article dans son intégralité sur Metropolitain

Les violences urbaines s’étendent, et avec elles les territoires perdus de la République? envoyé par Rutube.fr le 30/05/2020 @ 16:21


ARTICLE : http://rutube.fr/2020/05/30/les-violences-urbaines-setendent-et-avec-elles-les-territoires-perdus-de-la-republique/

Un palier dans la violence a-t-il été franchi dans les zones sensibles avec la crise du Covid-19? Pour l’ancien préfet Michel Aubouin, c’est plutôt leur propagation qui devrait inquiéter, car de nouveaux quartiers ont en effet été touchés par les émeutes. Les «zones de non-droit» semblent s’étendre. Entretien choc.

Dans les zones sensibles, les tensions s’accumulent. Le 27 mai, un policier municipal retrouvait dans son gilet pare-balles, au niveau de l’abdomen, une ogive de 9 mm, après une confrontation avec cinquante individus à Noisy-le-Sec (93). Le 28 mai, un homme menotté était jeté au sol et frappé par des fonctionnaires de police à Neuilly-sur-Marne (93). L’IGPN a été saisie. Des faits qui s’ajoutent aux rodéos sauvages et aux scènes de guérilla urbaine de ces dernières semaines.

«Les phénomènes de violence urbaine, qui sont très limités, très contenus, qui ne concernent qu’une minorité de personnes, sont traités avec fermeté», déclarait pourtant Laurent Nuñez à l’Assemblée nationale le 19 mai. À l’en croire, force serait donc restée à la Loi: «je veux battre en brèche l’idée qu’il y aurait un embrasement des quartiers.» Vraiment?

«Le gouvernement minimise, mais tous les jours des événements graves ont lieu», constate l’ancien préfet Michel Aubouin, qui n’est plus tenu par son devoir de réserve, au micro de Sputnik:

«À la vérité, il y a un décalage de plus en grand entre la parole du ministre de l’Intérieur et l’action de la police sur le terrain: l’un déclare “je contrôle tout”, mais c’est le terrain qui fait la jauge.»

Auteur de l’essai 40 ans dans les cités (Éd. Presses de la cité, 2019), l’ancien haut fonctionnaire a vu la dégringolade de quartiers entiers sur près d’un demi-siècle. Sans surprise, lui qui a longuement travaillé sur les zones criminogènes avait prévu les violences des dernières semaines: «le confinement allait provoquer des tensions graves, chaque contrôle de circulation donnant le sentiment d’une répression.»

Dépassés par les événements?
Bien sûr, la tension actuelle reste en deçà de la situation de 2005, qu’il a connue en première ligne, alors qu’il était en poste à la préfecture de l’Essonne: «il y a malheureusement eu des décès pendant une intervention de police cette année-là», rappelle-t-il avant d’ajouter: «mais on n’est pas passé loin de l’explosion.»

Une chance que la pandémie ralentisse en cette fin de mai: «si le confinement avait mordu sur l’été, les choses auraient pu s’accentuer.» Ainsi, est-il probable que les tensions dans les zones sensibles aient servi d’argument à l’exécutif pour hâter le déconfinement. Pour autant, la situation n’est pas réglée: «cette année, les jeunes vont rester dans les quartiers.» Les vacances «au bled» sont en effet à écarter: «les communes s’en inquiètent beaucoup», nous souffle notre interlocuteur, qui conseille encore de nombreux maires. Ainsi faut-il s’attendre à un autre rituel des quartiers dans les prochaines semaines: aux rodéos et confrontations avec la police s’ajouteront les canalisations brisées et les piscines dans les rues pendant les vagues de chaleur.

Le territoire est un enjeu
C’est d’ailleurs ce genre de signaux faibles que notre interlocuteur semble le plus remarquer. À Grigny (91), les jeunes du quartier de la Grande Borne ont invité ceux des Tarterêts de Corbeil-Essonne, pour un match de football réunissant entre 300 et 500 personnes sur des terrains municipaux. Aubouin n’a aucun doute: «même si cela prête à sourire, cela révèle l’incapacité absolue des institutions à contrôler quoi que ce soit dans ces quartiers», souligne-t-il, évoquant le cortège de plusieurs dizaines de voitures d’une cité à l’autre, «que personne n’a repéré.» L’évidence s’impose: l’information échappe à la police à mesure qu’elle perd du terrain.

Car ces loisirs ne reflètent pas seulement «un besoin ludique»: ils sont aussi, selon Michel Aubouin, «l’affirmation d’un territoire.» On dit souvent ces zones «perdues pour la République». Mais une chose est sûre: leurs nouveaux propriétaires entendent bien le rester.

Inexorablement, la contagion s’étend
«La tension est perceptible partout», constate-t-il: «elle arrive dans des communes jusque-là totalement épargnées par ces phénomènes, de nouveaux quartiers sont entrés dans la violence: Meudon (92), Suresnes (92) ou Rueil-Malmaison (78)…» et même Versailles (78), peut-on ajouter.

Des tensions sporadiques dans ces communes, bien sûr, mais à n’en pas douter des signaux faibles. Pourquoi une telle propagation? Du fait d’une émulation entre délinquants de cités via les réseaux sociaux? De la propagation d’une sous-culture traversée par la «haine antiflic»? Sans doute. Mais Michel Aubouin y voit surtout une dynamique profonde:

«C’est la logique des logements sociaux», dit-il avant de préciser: «des familles entières partent des grandes cités pour s’installer dans de nouvelles et plus petites cités.»

Et parmi les centaines de familles, quelques rejetons violents. Mais il en suffit de quelques-uns pour faire basculer un quartier jusque-là préservé. En effet, selon des documents internes à la police que Sputnik a pu consulter, les échauffourées de Meudon ou de Versailles ne comptaient pas plus d’une quinzaine de jeunes mineurs.

Un drame inexorable: «la contagion prend petit à petit», résume Michel Aubouin.

«Le cœur du problème, c’est la gestion du parc HLM», poursuit l’ancien haut fonctionnaire. Au titre de la mixité sociale ou du desserrement, mais surtout de la Loi Borloo de 2003, les déplacements de population s’opèrent, imperceptibles, mais bien réels. Il n’existe en effet aucun moyen de filtrer les familles: toutes ont le droit de rester dans le parc HLM, géré par le contingent préfectoral.

Les victimes ne sont pas celles que l’on croit
Le territoire des délinquants augmente en conséquence. Et Michel Aubouin de rapporter un «cas récent»: celui d’un trafiquant de drogue, tout juste sorti de prison, qui a demandé une maison HLM pour sa famille nombreuse et l’a obtenue: «ça arrange tout le monde…», souffle notre interlocuteur avant d’ajouter:

«On est dans la société du pardon en permanence. On a du mal à comprendre que certaines personnes n’ont pas des comportements habituels et que seule la sanction peut fonctionner.»

Briser cette dynamique invisible exigerait une décision politique et administrative forte: «clairement, la seule façon serait de renvoyer le locataire du secteur public». Un choix politiquement incorrect à l’heure actuelle: «ce serait un scandale», admet Michel Aubouin, avant de souligner l’injustice de la situation: «mais ceux qui n’ont pas de logement, comment font-ils?»

Achetant la paix sociale, l’État et les communes ont-ils oublié les plus faibles? «Une vieille dame ne peut sortir de chez elle qu’une demi-heure par jour, quand la cage d’escalier n’est pas occupée par les dealers… quand vous dépassez cette borne-là, vous ne devriez pas avoir le droit de rester dans le logement public», tranche l’ancien préfet. Ce sont ces oubliés des zones sensibles qui voudraient revoir la police.

«Nous nous dirigeons vers un drame économique et social inédit» en France envoyé par Rutube.fr le 30/05/2020 @ 07:06


ARTICLE : http://rutube.fr/2020/05/30/nous-nous-dirigeons-vers-un-drame-economique-et-social-inedit-en-france/

Sputnik

La chute du Produit intérieur brut (PIB) français devrait être historique au deuxième trimestre: -20%. Un chiffre qui s’accompagne d’une montée record du chômage en avril. Pour l’économiste Bruno Tinel, «un drame économique et social» se dessine. L’occasion selon lui de repenser notre modèle économique. Il confie son analyse à Sputnik.

«Au deuxième trimestre, le PIB diminuerait ainsi de l’ordre de 20% après avoir reculé de 5,8 % au premier, soit la plus importante récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948.»

L’Insee vient de confirmer les craintes qui pesaient sur l’économie française. Les mesures de confinement prises pour enrayer la propagation du Covid-19 ont eu un impact colossal sur l’activité de très nombreuses entreprises. Résultat: une récession historique qui s’accompagne d’une montée du chômage qu’il l’est tout autant.

«Nous nous dirigeons vers un drame économique et social inédit et je ne suis pas le seul à le dire. Nous n’avions jamais vu une telle diminution d’activité avec une rapidité aussi importante. Même constat du côté de l’augmentation du chômage. Le drame est donc à la fois économique et humain», prévient au micro de Sputnik France Bruno Tinel, Maître de conférences en économie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

En avril, le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A à Pôle emploi a bondi de 22,6%. Un chiffre qui s’explique en partie par le transfert de nombreux demandeurs d’emploi précédemment inscrits en activité réduite (B et C). Sur l’ensemble des catégories, la hausse n’est «que» de 3,6%. C’est cependant la plus forte augmentation enregistrée depuis le début de ce type de calcul. La barre des six millions de chômeurs a été franchie. Plus inquiétant encore: toutes les régions et toutes les catégories d’âges sont concernées.

«Pour la première fois depuis très longtemps, il va y avoir des gens qui n’auront plus rien à perdre», a prévenu auprès de l’AFP le député de la majorité Bruno Bonnell. Plusieurs parlementaires de La République en marche (LREM) ont anticipé des «temps très très difficiles». C’est notamment le cas de Laurianne Rossi, députée des Hauts-de-Seine qui craint «pour beaucoup de personnes des pertes d’emplois, de logements parfois». «Il faut qu’on soit au rendez-vous. Le travail est devant nous», a-t-elle déclarée.

Activité et rentabilité dégradées pour de nombreuses entreprises
De quoi risquer l’explosion sociale? Pas pour Bruno Tinel:

«De nombreuses personnes auront perdu beaucoup. Mais « plus rien à perdre », je ne sais pas ce que cela signifie. Les explosions sociales, par définition, sont imprévisibles. À chaque fois qu’on les annonce, elles ne se produisent pas. Il faut que les gens soient mécontents et aient des raisons de se mobiliser en même temps pour signifier leur mécontentement. Je ne sais pas si ces conditions sont actuellement réunies, car les Français sentent bien que cette crise n’a pas été créée par le gouvernement, même s’il a fait des erreurs dans sa gestion.»

Romain Grau, député LREM des Pyrénées-Orientales, qui a vu sa permanence dégradée «deux fois» lors de la crise des Gilets jaunes, «craint» après le «matelas» du chômage partiel une «hécatombe pour les commerces de détail» et de nouvelles «friches» en villes: «Avant la colère sociale, ma grande peur c’est le risque du chômage».

«Si je ne crois pas une explosion sociale, certaines annonces du gouvernement qui pourraient être vécues comme des provocations par une partie du peuple seraient susceptibles de conduire à un phénomène de résistance et de mobilisation. Nous l’avons constaté avant la crise du coronavirus et une bonne partie des citoyens est plus lucide sur la situation que ce que l’on pense. Ils ne se laisseront pas duper par des mesures de politiques économiques prises pour faire plaisir toujours aux mêmes», prévient Bruno Tinel.

À partir du 1er juin, le dispositif de chômage partiel, qui a concerné jusqu’à plus de 12 millions de Français durant le confinement et qui permettait notamment aux salariés de toucher 84% de leur salaire net (100% dans le cas d’un Smic), va évoluer. Il deviendra moins généreux pour de nombreux travailleurs. Le gouvernement étudie cependant la possibilité de mettre en place un dispositif d’activité partielle de longue durée.

«Pour beaucoup d’entreprises, dont l’activité et la rentabilité vont être dégradées, la question du maintien de l’emploi va se poser et chacun devra prendre ses responsabilités. Le fait que l’État ait autant soutenu l’économie […] donne à chacun des obligations. Notre boussole est claire: la préservation de l’emploi ou la reconversion des compétences pour répondre à des offres existantes ou à venir. Nous le ferons en utilisant les outils les plus pertinents. Le Président de la République abordera cette question la semaine prochaine avec les partenaires sociaux pour avancer sur la définition d’un contrat social renouvelé», a notamment expliqué la ministre du Travail Muriel Pénicaud.

Le gouvernement a d’ores et déjà mis 100 milliards d’euros sur la table pour aider à contrer l’impact de cette crise inédite. «Dans l’immédiat, ce que fait le gouvernement va dans le bon sens. Ce sont des mesures d’urgence. Il est nécessaire d’apporter une assurance de revenus à ceux qui perdent leur emploi et/ou se retrouvent en situation de grande précarité afin qu’ils achètent les biens de premières nécessités dont ils ont besoin pour survivre. D’un autre côté, il y a des problèmes au niveau de la production des produits, de l’offre, qu’il faut également résoudre», analyse Bruno Tinel.

«Faire le maximum pour éviter les faillites»
Du côté de l’Union européenne, un plan de relance de 750 milliards devrait être mis en place. La France pourrait bénéficier de 40 milliards d’euros, mais de nombreux observateurs tels que Charles-Henri Gallois, responsable national à l’UPR en charge de l’économie, assure qu’un tel plan coûtera cher à Paris et conduira à «l’austérité».

En France, les débats seront vifs dans les prochains jours. Un nouveau projet de loi de finances rectificative est attendu courant juin avant le marathon budgétaire de l’automne. Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, propose notamment le développement de «l’actionnariat salarié» en entreprise qui permettrait aux salariés de bénéficier d’un intéressement en plus du salaire.

Le retour de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est demandé par plusieurs partis d’opposition, mais fait toujours grincer des dents du côté de la majorité. Damien Adam, député LREM de Seine-Maritime souhaite «faire exactement l’inverse» et demande pour les entreprises une baisse des impôts de production transformés en «contribution climat». Cette taxe pourrait diminuer si les entreprises concernées font des efforts pour l’écologie.

«À court terme, il faut faire le maximum pour éviter les faillites. Concernant les grandes entreprises qui jouent un rôle moteur dans l’économie française, il est nécessaire de leur apporter les aides dont elles ont besoin afin qu’elles règlent leurs problèmes de trésorerie. Mais ces aides doivent être conditionnées», préconise Bruno Tinel. Et de poursuivre:

«Ces entreprises doivent répondre aux besoin de développement à moyen terme de la France: limiter les licenciements, faire des choix viables aux niveaux environnemental et social. Leur responsabilité concernant ces thèmes doit être engagée de manière plus vigoureuse que ce qui a été fait ces dernières années.»

Le gouvernement espère désormais une reprise de l’économie que permettrait les décisions annoncées par le Premier ministre Édouard Philippe le 28 mai.

«Incertitude très grande»
Après une première levée progressive du confinement le 11 mai qui a permis à de nombreux commerces de rouvrir, de nouvelles décisions ont été prises. Les bars et restaurants pourront reprendre leur activité le 2 juin dans les zones vertes et la limitation de déplacement à 100 kilomètres du domicile a été annulée. Dans les zones oranges, comme à Paris, terrasses, parcs et jardins pourront de nouveaux ouvrir, également le 2 juin.

«Il y aura une reprise d’activité, mais cela ne veut en aucun cas dire qu’elle sera suffisante pour effacer l’ampleur de la récession. La croissance sera quoi qu’il arrive négative en 2020 et le sera d’une manière inédite. La question est de savoir à quel point», explique Bruno Tinel.

«Le déconfinement va nous permettre de reprendre une vie à peu près normale», déclarait Édouard Philippe, soulignant que tout est dans l’«à peu près».

Car la réouverture des bars, restaurants et cafés s’accompagne de mesures de sécurité strictes, comme une distance d’un mètre entre chaque table, la limitation à 10 personnes pour les tablées ou l’interdiction de consommer debout à l’intérieur des salles. Les professionnels s’attendent d’ores et déjà à une perte de chiffres d’affaires de l’ordre de 40 à 50%.

L’Insee a prévenu:

«L’activité économique en juin pourrait être de l’ordre de 14% inférieure à la normale.»

«L’incertitude est très grande. De plus, de nombreuses personnes se trouvent en situation de chômage et de précarité. Ce ne sont pas eux qui risquent de consommer davantage. Je pense, comme la plupart de mes collègues que le rebond de l’économie sera modeste», alerte Bruno Tinel.

D’après l’économiste, le gouvernement doit profiter de cette crise pour changer de logiciel économique:

«C’est un équilibre subtil à trouver. L’État doit continuer à soutenir ses entreprises, mais exiger enfin en retour des orientations viables pour notre avenir. Il faut cesser de laisser le seul marché dicter les choix des entreprises. Au-delà de la crise sanitaire, qu’il est évidemment urgent de solutionner, on ne peut plus faire fi de problématiques comme le réchauffement climatique ou la responsabilité sociale des entreprises.»

La chanson du jour, Line of Fire – Junip envoyé par Rutube.fr le 30/05/2020 @ 06:50


CLIP : http://rutube.fr/2020/05/30/la-chanson-du-jour-line-of-fire-junip/

Encore un joli moment d’évasion avec cette chanson pleine d’introspection sur son passé et sa jeunesse. Bon weekend et prenez soin de vous.

Le 9-3, un avant-goût de la France de demain ? envoyé par Rutube.fr le 28/05/2020 @ 06:57


ARTICLE : http://rutube.fr/2020/05/28/le-9-3-un-avant-gout-de-la-france-de-demain/

Riposte Laïque

La Seine-Saint-Denis, vous connaissez ? Un havre de paix dans les années soixante, avec des cités flambant neuves, fleuries et souriantes, où vivaient les classes populaires en parfaite harmonie et en toute sécurité.

Ni drogue, ni violence, ni viols en tournante, ni rodéos sauvages, ni guet-apens anti-flics, ni caillassages de pompiers, ni règlements de comptes à la Kalach’, ni cages d’escaliers délabrées et ascenseurs saccagés. Mais de nombreux commerces, des entreprises et des services publics omniprésents, profitant de l’incroyable boom économique des « Trente Glorieuses ».

La police ? Invisible puisque tout allait bien !

La Seine-Saint-Denis des années soixante n’était peut-être pas le paradis sur Terre, mais les habitants y vivaient heureux, à des années-lumière de l’enfer que ce département est devenu aujourd’hui. On s’y sentait bien.

Car un demi-siècle plus tard, mondialisation et multiculturalisme obligent, la Seine-Saint-Denis est la parfaite illustration d’un naufrage économique et social, un chaudron en ébullition frappé par le chômage et la violence, où les émeutes sont devenues quasi quotidiennes et où l’État a totalement perdu le contrôle de la situation, refusant même d’y restaurer l’ordre républicain.

Évidemment, les inconditionnels du multiculturalisme, les élus locaux et les communicants du département nous vendent une autre image de la Seine-Saint-Denis, pour en faire le paradis du vivre-ensemble et le département phare du pays. En un mot, la France de demain, la France qui gagne  !

http://lemag.seinesaintdenis.fr/appel

« Un département dynamique, jeune, métissé, solidaire, écologique et innovant… à l’incroyable bouillonnement artistique et culturel… »

À la lecture d’un tel tableau idyllique, la Seine-Saint-Denis devrait attirer tous les jeunes talents et créateurs de richesses. Mais ce n’est hélas, que le côté face.

Car côté pile, c’est une image désastreuse que véhicule ce département que tout le monde cherche à fuir.

La Seine-Saint-Denis, c’est d’abord la petite phrase de Jean-Pierre Chevènement en 2016, qui évoquait des villes où la ségrégation s’installe, comme à Saint-Denis, où parmi« 135 nationalités il y en a une qui a quasiment disparu ».

Tollé général chez les élus locaux qui s’empressèrent de rappeler que 75 % des habitants étaient de nationalité française, feignant d’ignorer que l’acquisition de la nationalité française n’est pas synonyme d’intégration, loin s’en faut.

La Seine-Saint-Denis, c’est le département le plus pauvre et le plus criminogène de France, où il y a le plus de morts violentes.

La consommation de drogue y est banalisée. On trouve du cannabis sur Twitter et la part des 18-24 ans ayant expérimenté la cocaïne a quadruplé en 20 ans. Que fait l’État ? Rien !

Avec 85 crimes et délits pour 1 000 habitants, il devance tous les autres départements, y compris la Guyane et Mayotte, tristement célèbres pour leur insécurité.

En ce qui concerne le taux de criminalité par ville, la Seine-Saint-Denis se place largement en tête avec 9 villes citées sur 30, dont le trio de tête ! !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Taux de_criminalit%C3%A9_en_France

Ce département cumule beaucoup de mauvais records, dont une pauvreté et un chômage au-dessus de la moyenne nationale, sans oublier un assistanat démentiel, deux fois plus important qu’ailleurs.

https://nvo.fr/besoin-urgent-de-services-publics-en-seine-saint-denis/

Mais le pire est le racisme anti-Juifs ambiant, qui a chassé peu à peu les familles juives du 9-3. On avance le chiffre de 50 000 Juifs qui ont quitté le département.

Au paradis de la diversité, les enfants juifs ont fui les écoles publiques !

https://www.lci.fr/population/plus-aucun-enfant-juif-dans-les-ecoles-publiques-de-seine-saint-denis-d-ou-vient-cette-affirmation-et-est-elle-vraie-2113490.html

https://www.liberation.fr/checknews/2018/04/24/des-chiffres-officiels-revelent-ils-que-50-000-juifs-ont-quitte-la-seine-saint-denis-comme-l-affirme_1653588

Par conséquent, il ne faut pas s’étonner que ce soit le sauve-qui-peut général pour beaucoup d’habitants et de fonctionnaires, qui cherchent à fuir un département dangereux et si peu attractif.

Que vous soyez enseignant, policier, magistrat ou agent des services publics, sachez que la Seine-Saint-Denis recrute à tours de bras. Primes et avantages de carrière tentent d’attirer les candidats, tant les volontaires se font rares.
Selon l’Éducation nationale, on y enregistre 300 demandes de départ pour une demande d’affectation !! Mais qui veut enseigner dans un climat de violence et de menace, où l’autorité du maître n’est plus reconnue ?Un métier noble et valorisant, méprisé par une frange de la population rebelle à l’autorité de l’État.

Certains se souviennent de Nicolas Revol, auteur de « Sale prof », un best-seller qui décrivait la vie cauchemardesque d’un enseignant en banlieue. Il fut traîné dans la boue par toute la bien-pensance, qui s’acharnait à nier les faits et à dénigrer l’auteur.

Mais aujourd’hui, après 20 années de déni des réalités et de mensonges, combien d’enseignants pensent comme Nicolas Revol ? Le fait est que peu d’entre eux se précipitent pour tenter l’expérience…

Même scénario chez les policiers, qu’ils soient nationaux ou municipaux. Se faire caillasser et cracher dessus pour 1 800 euros par mois, comme on l’a vu régulièrement pendant le confinement, ne suscite guère les vocations.

Côté justice, même combat. Au tribunal de grande instance de Bobigny, un tiers des magistrats s’en va chaque année.

Comme l’ont confirmé la crise sanitaire et le confinement, la puissance publique a totalement disparu du département, laissant la population libre de ses mouvements et envoyant aux caïds un désastreux signal d’impuissance.

« Ce n’est pas une priorité que de faire respecter dans certains quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements », a déclaré le secrétaire d’État à l’Intérieur, Laurent Nunez, le 18 mars.

Résultat : le département le plus jeune de France a connu le taux de mortalité le plus élevé du pays avec le Grand-Est.

Démission et renoncement de l’État ont fait de la Seine-Saint-Denis un département au-dessus des règles, avec des zones de non-droit livrées aux caïds et aux barbus, qui ne reconnaissent plus la loi républicaine.

Devant ce naufrage républicain, élus locaux et associations réclament toujours plus d’argent, alors que ce département a bénéficié d’innombrables « plans banlieue », en pure perte !

Sur 580 000 ménages, sans compter les dizaines de milliers de clandestins toujours plus nombreux, 100 000 quittent le département chaque année, remplacés par 75 000 autres familles, encore plus pauvres.

Comment éradiquer la pauvreté en France quand des centaines de milliers de déshérités, illettrés pour la plupart, viennent chaque année grossir le flot des assistés ? Malgré un budget social de 750 milliards, record mondial, la France ne cesse de s’appauvrir.

Et avec la crise sanitaire, qui va se traduire par 300 milliards de dettes supplémentaires, une chute du PIB de 10 % et un ou deux millions de chômeurs de plus, tout va s’aggraver.

Au rythme actuel de l’immigration, qui repart avec la fin du confinement, le naufrage économique, sécuritaire et identitaire du pays ne peut que s’accélérer.

La Seine-Saint-Denis, avec son lot de misère et de violences, avec sa fracture identitaire irréductible, c’est la France de demain. C’est la France que veut Macron.

Un bond en arrière gigantesque qui va disloquer la nation à jamais.

Camelia Jordana : et cette bécasse a chanté pour les victimes du Bataclan ! envoyé par Rutube.fr le 28/05/2020 @ 06:40


ARTICLE : http://rutube.fr/2020/05/28/camelia-jordana-et-cette-becasse-a-chante-pour-les-victimes-du-bataclan/

Riposte Laïque

Moi je ne connaissais pas, et je la connais que depuis que cette bécasse a dit dans l’émission de Ruquier « on n’est pas couché » (heureusement cette émission de gauuuuuuuche va enfin prendre fin) au sujet de sa peur devant les flics ! Elle est la petite fille d’immigrés algériens elle est née à Toulon le 15/9/1992 son grand père était un référent local du FLN DONC UN OPPOSANT A LA France et je crois qu’elle en est restée en 1962 bien qu’elle soit née 30 ans plus tard !

C’est une chanteuse qui a sorti trois malheureux albums et qui a joué dans quelques films.

Cette gourde comme beaucoup de sa génération bien que Française ne se reconnait pas dans la société Française dirigée par « des vieux blancs riches » à qui elle s’en prend ainsi qu’aux Catholiques ! Beaucoup de Français de carte vitale ne s’estiment pas Français à part entière. D’autres avant elle ont exprimé leur malaise avec ça comme Benzema, Nasri, Médine, etc etc. Pour ne citer qu’eux alors moi je veux bien comprendre qu’ils se sentent plus algériens que Français, je veux bien admettre encore que ces gens en veulent à la France par ce que l’Algérie a été un ancien département Français, bien que si nous devions faire la même chose vis-à-vis des Allemands, nous n’aurions pas fini. Je veux bien aussi admettre qu’ils se sentent mal en France mais il y a une chose QUE JE NE COMPRENDRAIS JAMAIS. Pourquoi restent-ils dans un pays qu’ils détestent ? Moi si je ne suis pas bien quelque part je quitte l’endroit qui ne me plaît pas et je retourne dans le pays que j’aime tant !

Dans l’émission de Ruquier elle n’a rien trouvé mieux, car c’est loin d’être un prix Nobel : « Je parle des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau, c’est un fait. Elle ajoute : Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie. Aujourd’hui j’ai les cheveux défrisés, quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France. »

Cela appelle à plusieurs réflexions :1°Je ne pense pas que les policiers massacrent les gens en raison de leur couleur de peau c’est plutôt le contraire, quand on voit la circulaire émanant du ministère de l’Intérieur intimant aux forces de l’ordre de ne pas être trop répressif dans les banlieues pour ne pas créer d’incidents.

2°Que les forces de l’ordre soient bien plus méfiant vis-à-vis des gens de couleur cela m’apparaît complètement normal, lorsqu’on voit que 80% des détenues dans nos prisons sont des « chances pour la France », et qu’à chaque émeute dans les banlieues ce sont toujours les mêmes qui brûlent les voitures, démolissent les mobiliers urbains tirent à coup de mortiers sur les voitures de police ou se rendent coupable de tous les trafics de drogue ou d’armes.

3°Si face à des policiers, elle a peur c’est inévitablement par ce qu’elle a des choses à se reprocher. Celui qui n’a rien à se reprocher n’a AUCUNE RAISON d’avoir peur.

4°Elle connait quoi elle des banlieues elle qui a toujours vécu chez papa à La Londe des Maures dans une très belle villa avec piscine ? Et c’est ce qui est surprenant, c’est que cette mentalité est souvent celle soutenue par des jeunes de « quartiers difficiles » or elle n’est pas issue de milieu défavorisé bien au contraire et elle a été élevée loin des ghettos des banlieues.

Ces paroles débiles ont choqué bien évidemment les policiers qui se sentent haïs et qui sont massacrés dans les émeutes comme ils s’en passent désormais chaque jour dans les banlieues et ces paroles ne peuvent qu’attiser la haine et provoquer des remous.

Dans les milieux politiques de droite, elle a bien entendu fait un tollé contre elle, alors qu’elle a reçu des félicitations de crétins inutiles comme Aurélien Taché, qui bien entendu s’est porté à son secours. Cet abruti ne peut pas faire autrement que de prendre parti pour « les chances pour la France ». Youcef Brakni bien évidemment a déclaré « qu’il devrait y avoir des milliers de Camélia Jordana pour dénoncer le racisme dans la police ». Parce qu’évidemment les méchants et racistes policiers n’arrêtent que des gentils basanés cela me paraît tellement évident puisqu’ils commettent 80% des délits. Bien sur la très inutile association SOS racisme qui coûte une fortune aux contribuables Français en a rajouté une couche. Mélenchon et ses Insoumis ne pouvaient pas être en reste, et d’une façon tout à fait surprenante Castaner Rantanplan a simplement déclaré que ces propos étaient scandaleux mais qu’il ne porterait pas plainte. Résultat la gourdasse lui a proposé un débat ce qui risque d’être très intéressant un débat entre deux cons cela risque d’être passionnant et ce sera sans moi !

Le pire pour moi c’est que grâce ou plutôt à cause de ces paroles j’ai effectué des recherches sur cette fameuse Camélia Jordana Riad Allouane je me suis rendu compte que c’était cette radasse qui avait chanté lors de l’hommage national aux Invalides pour les victimes des attentats parisiens !

https://youtu.be/dme3Oj99iic

Il est vrai que ce jour là j’avais autre chose à penser, que je ne me suis rendu à ce pseudo hommage (Hollande ayant parlé 10 minutes s’est rapidement éclipsé par une porte dérobée n’allant même pas saluer les parents des victimes), que pour accompagner mon fils car je ne voulais pas aller à cette mascarade vu la complicité des politiques avec les terroristes. De même, j’ai toujours refusé de demander la médaille destinée aux victimes des attentats. Ne pouvait-on pas trouver une autre chanteuse qu’une franco algérienne pour cette circonstance ?

Il est vrai que dans l’assistance on nous a imposé des hommes en djellabas et des femmes voilées tel des sacs poubelles car ces gens n’ont même pas eu la décence de s’habiller normalement pour pénétrer dans cette enceinte des Invalides. M’en étant ouvert auprès du service d’ordre, j’ai déjà failli être expulsé. J’ai donc ravalé ma salive, ne voulant pas laisser en cette occasion mon fils seul. Je venais déjà de perdre ma fille et lui sa sœur.

Il était indispensable que je sois à ses côtés.

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